Tour d'horizon des journaux du vendredi : EY, HS2, Arrivée
Le directeur général de Deloitte a lancé une critique à peine voilée de son rival EY après que ses projets controversés de scinder l'entreprise en deux ont été bouleversés. EY a initialement annoncé des plans pour une rupture radicale de ses opérations mondiales l'année dernière, qui séparerait ses activités d'audit et de conseil. - Gardien
HS2 sera retardé de deux ans et les grands projets de construction de routes seront mis en veilleuse, ont confirmé les ministres, après que la flambée de l'inflation a ajouté des milliards au coût des projets d'infrastructure de transport. Les ministres ont insisté sur le fait qu'ils restaient attachés au projet de réseau ferroviaire à grande vitesse britannique, mais les contraintes budgétaires ont jeté un doute supplémentaire sur les perspectives de mise en œuvre complète du projet ferroviaire. - Gardien
With spring approaching, Bill Quan is preparing to plant this year’s crop of potatoes and peas at his Herefordshire farm. Yet there is a key difference on the field this year. Between the last harvest and the beginnings of the next one, Quan has kept the soil healthy using a mixed-species cover crop. Not only does this add nitrogen and allow the earth to hold more water, it also sucks up carbon dioxide from the atmosphere and sequesters it in organic matter. – Telegraph
Une start-up de véhicules électriques en difficulté fondée en Grande-Bretagne a déclaré qu'elle était en passe de conclure un accord qui renforcerait ses finances, malgré des pertes pouvant atteindre 1 milliard de dollars l'année dernière. Les pertes à l'arrivée se sont élargies à au moins 587.6 millions de dollars au cours du seul dernier trimestre de 2022, contre 66.6 millions de dollars l'année précédente, alors qu'elle était aux prises avec des charges de dépréciation et des radiations liées aux décisions de fermer son opération britannique, de passer aux États-Unis et d'arrêter développement en Russie. - Les temps
La Grande-Bretagne est sur le point de devenir un «endroit nettement pire pour faire des affaires» à mesure que l'impôt sur les sociétés augmente et que les incitations à l'investissement expirent, selon de nouvelles recherches. La combinaison de l'imposition des bénéfices des sociétés à 25 % et de la fin de l'allégement fiscal dit de la super-déduction fera passer le Royaume-Uni de la dixième place à la 33e sur 38 économies de premier plan en termes de compétitivité de son régime d'imposition des entreprises, le Center for Policy Studies a mis en garde. - Les temps